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« Voilà un trio qui va droit au but : un son qui retrouve la saveur des "organ trios" historiques, une musique féline, souple et élégante, qui place le swing en première ligne et, par dessus tout, un plaisir de jouer immédiatement communicatif.

Antoine Polin, Cédric Piromalli et Etienne Ziemniak font partie de ces jeunes musiciens polyglottes et sans frontières, à l'aise sur tous les terrains d'envol. Ils évoluent avec autant de conviction dans la glorieuse tradition du jazz (pour ce trio, en 

l'occurrence), qu'aux avant-postes de la création la plus radicale. Artistes enracinés donc, mais tout autant explorateurs, aventuriers.

Cet apparent paradoxe explique sans doute pourquoi The West Lines sonne avec autant de fraîcheur et d'évidence. Â» 

     Guillaume De Chassy

« The West Lines, ce sont d’abord trois musiciens aux parcours et à l’expérience très différents, qui se retrouvent pour…simplement jouer du jazz […] Et ça n’est que du plaisir, qu’il serait dommage de dévoiler, pour que chacun aille le chercher lui-même, au-delà des références ou des comparaisons obligées. […] C’est la preuve qu’il restait beaucoup à inventer, dans une tradition dont on croyait pourtant avoir tout entendu. » 

     Vincent Cotro - Journaliste Jazz Magazine / Jazzman

 

 

« Parmi les formations emblématique du jazz, il en est une quelque peu à part : le trio orgue, guitare, batterie. […] The West Lines propose de perpétuer cette histoire pour en proposer sa version, entre clin d’œil à la tradition et modernité. […] The West Lines s’épanouit dans la ligne claire, le travail mélodique, alliées au swing et au groove que permettent cette formule orchestrale […] nous offrant une musique réjouissante à souhaits, dont les maîtres mots pourraient être mélodie, swing et plaisir, le leur et le nôtre. » 

     Julien Gros-Burdet - Chroniqueur Citizenjazz.com

 

 

« Cédric Piromalli est un ardent praticien de cet instrument et de ce style. Très volubile, grand rythmicien, il sait aussi se faire délicat, par un doigté subtil, et développe l'harmonie en douceur. Il possède en plein l'art du contraste, qui constitue la marque des grands techniciens.

Il déroule ses tapis sonores au guitariste Antoine Polin, qui pose ses accords tout en tension - ah le Panda Blues, digne des thèmes de John Scofield, du ton par ton, évocation minimaliste à la limite de la caricature, d'un douze mesures, comme savait le faire la Compagnie des musiques à ouïr- et qui brille par ses solos chantants hyper mélodiques.

Etienne Ziemniak n'est pas en reste. Sur sa batterie, il impulse, ponctue, relance, illumine, avec une inspiration et une énergie toujours renouvelées.

La musique de The West Lines joue dans le genre, dans la tradition du swing, avec cette pointe de modernité due aux arrangements soignés et au son légèrement distordu de la guitare. Le groupe a le souci de se renouveler pour éviter la monotonie du standard rabâché. Les sons se fondent les uns dans les autres, chacun jouant de sa pédale de volume pour améliorer les transitions. Cela donne quelque chose de très réjouissant et les standards sont revisités d'une manière très convaincante et très attrayante. A la fin du concert, le groupe ose les compositions personnelles (notamment le très étonnant More peanuts) et on peut ressentir un véritable lâcher prise et de belles émotions.

The West Lines est un magnifique trio, porté par trois musiciens hors pair. Ils jouent un swing décapant mais attention, ils en ont encore davantage sous la pédale, à en juger par les quelques (trop rares) compositions originales plus que prometteuses. A quand un prochain album complet de ces pépites ? Â» 

 

      Laurent Brun - chroniqueur www.jazz-rhone-alpes.com

 

 

 

« La couleur west coast qui domine dans cette version sextette de West Lines n’est pas étrangère à la personnalité des invités : Yoann Loustalot mais surtout Olivier Thémines et Jean-Baptiste Réhault (les deux compères de Guillaume Hazebrouck dans la compagnie Frasques). Ce dernier arrange avec talent (Carolina Moon, Lullaby for Dreamers), s’inspirant de versions antérieures de Monk pour la première pièce, de Chico Hamilton pour la seconde). Olivier Thémines, pour sa part, n’a pas son pareil pour débusquer et revisiter des morceaux rares comme Afternoon in Africa, de Buster Bailey. Je n’oublie pas de souligner la rythmique parfaite que forment Antoine Polin (aux lignes improvisées limpides et cristallines) et Etienne Ziemniak qui dose très exactement l’énergie, ici transformée en précision. S’appuyant sur d’impressionnants walking de main gauche sur les tempos rapides, Cédric Piromalli fait parler, chanter, et toujours respirer l’orgue Hammond avec une maîtrise grandissante. Â»

       Vincent Cotro â€“ Journaliste Jazzmagazine / Jazzman 

 

 

« La lumineuse limpidité du guitariste, la rythmique discrète et singulièrement efficace du batteur et la manière constamment chantante de l’organiste contribuent, à l’évidence, au plaisir communicatif du jeu de ce rutilant et très nouveau Organ Trio que Rudy Van Gelder lui-même aurait peut-être pris plaisir à enregistrer. Â» 

     Bernard Aimé - Créateur et ancien directeur artistique du Petit Faucheux, Tours 

 

 

« En deuxième partie le trio West Lines mené par Cédric Piromalli invitait trois vents compères qui nous firent bien des caps traverser sans vent contraire. […] le jeu contrasté du batteur Etienne Ziemniak et l’intemporalité du guitariste Antoine Polin poussant l’accord des vents à une amusante exaltation, si riche sous les arrangements de Jean-Baptiste Réhault le saxophoniste, si romantique dans le jeu du clarinettiste Olivier Thémines et si tonique dans les fulgurances de Yoann Loustalot le trompettiste.  Â»

       Didier « Doc »Pilot â€“ Magazine Parallèles

     

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